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Soutien psychologique & accompagnement non directif ,« Prenez le temps d’être aidé »
Nos besoins
Site internet :http://www.association-raph.com
Adresse e-mail :  assoraph@laposte.net
Agrément préfectoral : W86 3005526 - Siren : 423 241 496
Siège social de l’association :
Hameau de  Pouzeau  11, rue de l’Huilier  86600 Saint sauvant
05 49 53 30 76  -  05 49 58 03 40
Bien qu’ils soient très difficiles à exprimer, sans qu’ils soient considérés comme des objectifs basés sur un but lucratif, alors que notre association, est fondée sur la volonté et des critères non lucratifs, nous avons choisi d’œuvrer auprès des personnes socialement isolées, en ne sollicitant qu’une adhésion annuelle, d’un montant de 50.00 €.

Nous sommes très attachés à œuvrer auprès des personnes en situation précaire, et ceci dans une grande diversité de souffrances humaines, qui restent et demeurent vécues, par les demandeurs d’aides, comme une « déchéance humaine ».

Ce constat n’est pas du domaine du «
misérabilisme » comme nous le font sentir les institutions sociales, qui justifient cette carence comme un choix social, leurs obligations de résultat, sembleraient les obliger à juger du bienfondé des demandes d’aides, sur les causes et non sur les effets, de la détresse sociale.

Nous sommes confrontés à des demandes de plus en plus «
axées », sur des aides ponctuelles, auxquelles nous tentons de répondre d’une manière bienveillante, forcé de constater, que depuis plusieurs mois, toutes les problématiques rencontrées font écho à des carences liées au « décrochage » des services sociaux locaux.

La souffrance humaine ne peut se permettre de ne trouver que des « portes closes », l’indiférence au malheur de l’autre, n’est pas une évidence, mais un comportement que nos bénévoles refusent de percevoir comme une fatalité.

Notre
association est régie par la loi de 1901, donc à but non lucratif, de plus, elle est d’utilité publique et se doit d’œuvrer dans l’engagement qu’elle s’est donnée.

Nos bénévoles sont des personnes ayants exercés des métiers, dans les domaines médico-sociaux, ils sont très attachés à
transmettre, partager, voire donner, un peu de leur temps, pour mettre leurs compétences, leurs savoirs et leur bienveillance, à la disposition des personnes en situation ponctuelle de déshérence.

En ce sens, il n’est pas nécessaire de critiquer ce qui a été fait ou défait, pour solliciter une prise de conscience de tous les êtres qui ont en eux, un potentiel très souvent méconnu pour l’aide dans son intégralité.
Nos besoins passent par les besoins de la personne âgée fragile « Vulnérable »
La fragilité représente l'état intermédiaire entre le vieillissement normal et autonome, d'une part, et la perte d'autonomie et dépendance irréversible, d'autre part.

Le concept de fragilité a été élaboré par les gériatres comme un moyen de mieux comprendre les besoins de santé des personnes âgées, afin de proposer les interventions potentiellement adéquates.

Elle peut se définir comme une baisse avec l'âge des capacités d'adaptation de l'organisme au stress, une diminution des réserves adaptatives.

Le facteur déclenchant peut être un deuil, un déménagement, une pathologie somatique ou autre.

La personne âgée fragile présente donc un risque de déséquilibre et d'entrée dans la dépendance.
La fragilité pour qui ?
• a) La fragilité pour le malade :
C’est une préoccupation pour demeurer le plus longtemps possible en bonne santé.
• b) La fragilité pour le médecin :
C’est la volonté de prévenir le risque de maladies : par exemple par les vaccinations antigrippale et antipneumococcique ou encore par la correction des facteurs de risque vasculaire.
• c) La fragilité pour la famille (souvent gestionnaire) :
Le risque de dépendance pour les actes de la vie quotidienne et le coût qui s’y attache requièrent une évaluation des besoins, en termes de dépendance (soins « de base ») et de pathologie (soins médicaux).
• d) La fragilité pour ceux qui sont en charge de la protection
de la personne en situation de vulnérabilité, avec les risques d’abus et de maltraitance de toutes sortes, en particulier financiers.
En ce sens : Les services médico-sociaux institutionnels répondent trop souvent de manière directive aux attentes des personnes désœuvrées par la souffrance et/ou la douleur, de voir un parent aimé, confronté au désarroi d’une perte d’autonomie et/ou d’une dépendance irréversible.

En cela : Nous considérons que nos interventions, rassurent les personnes, trop souvent socialement isolées, sachant que notre aide, favorise la mise en relation avec les services sociaux et institutionnels.